Escamillo
Accomplit à en perdre haleine
Douze tours d’arène
Sentit l’ taureau sans plus d’ facon
Lécher ses talons
Puis, par une lente ascension,
Il grignotait son pantalon
Quand il arriva au calecon
-Vers la fin, ca devient nettement une chanson, hummm, olé-olé, n’est-ce pas !-
Quand il arriva au calecon
Les femmes crièrent d’admiration
Enlevez-le ! Enlevez-le !
Mais non ! Pas le taureau, eh ! Le calec… !
Voilà ! Oh ! Escamillo
Escamillo !
Ce fut le roi de la corrida
Dans toute l’España
Anda ! Olé !
Bravo ! Bravo !
Qui peut dire qu’il n’a connu, de sa vie, aucun instant de jalousie? Pas moi, en tout cas. Certes, pas jalouse des biens des autres, non, et jamais au point de sortir une pétoire pour éliminer la rivale, j’étais plutôt du genre « souffre et meurs sans parler », mais bon sang de bonsoir, heureusement que la vie m’a appris la sérénité.
C’est marrant de découvrir ce qu’inspire un cliché selon les photographes. Ici, je ne vois pas de jalouse, mais plutôt une penseuse (un penseur) ou quelqu’un qui est intéressé par ce qui se passe dans la rue.
En tout cas, une chose dont je suis sûre, c’est que je n’aime pas ce style de coupe, mais que j’apprécie ta photo 😉
Elle n’a quand même pas l’air bienveillant, je trouve. Le résultat est au-delà de mes espérances pour le reflet, ça lui crée un environnement bizarre, hors du temps alors qu’elle est dans un magasin tout ce qu’il y a de plus banal.
C’est pas bien !!! 😀
Oh non ! 🙂
Bon jour,
Jalouse ? Parce que vous voudriez lui ressembler ?
Max-Louis
Sans façon, elle est ravissante mais si c’est pour avoir l’air jalouse, je préfère ma tronche.
sous les remparts, cette fille n’est qu’un mannequin. Que fait Escamillo ?
Escamillo
Accomplit à en perdre haleine
Douze tours d’arène
Sentit l’ taureau sans plus d’ facon
Lécher ses talons
Puis, par une lente ascension,
Il grignotait son pantalon
Quand il arriva au calecon
-Vers la fin, ca devient nettement une chanson, hummm, olé-olé, n’est-ce pas !-
Quand il arriva au calecon
Les femmes crièrent d’admiration
Enlevez-le ! Enlevez-le !
Mais non ! Pas le taureau, eh ! Le calec… !
Voilà ! Oh ! Escamillo
Escamillo !
Ce fut le roi de la corrida
Dans toute l’España
Anda ! Olé !
Bravo ! Bravo !
Si ma grand-mère serait encore de ce monde, elle lui dégagerait
… Le front, pour qu’elle y voit un peu plus clair… Suis sûre qu’elle ferait tout de suite moins jalouse !
La coupe au bol règlementaire comme autrefois, non mais 😉
Qui peut dire qu’il n’a connu, de sa vie, aucun instant de jalousie? Pas moi, en tout cas. Certes, pas jalouse des biens des autres, non, et jamais au point de sortir une pétoire pour éliminer la rivale, j’étais plutôt du genre « souffre et meurs sans parler », mais bon sang de bonsoir, heureusement que la vie m’a appris la sérénité.
Ha oui quand même… Avec le temps, cela valait-il le risque d’aller en prison ?
Compliments pour ta petite chanson!
Cépamoa c’est Marcel Hamon !
Je sais bien mais compliments pour ce que j’admire chez toi : ton esprit d’à-propos qui vaut mieux que mon esprit d’escalier….
L’art de voir sans être vue ou bien voir les choses de plus haut ?
P’têt’ les 2 mon général
C’est marrant de découvrir ce qu’inspire un cliché selon les photographes. Ici, je ne vois pas de jalouse, mais plutôt une penseuse (un penseur) ou quelqu’un qui est intéressé par ce qui se passe dans la rue.
En tout cas, une chose dont je suis sûre, c’est que je n’aime pas ce style de coupe, mais que j’apprécie ta photo 😉
Elle n’a quand même pas l’air bienveillant, je trouve. Le résultat est au-delà de mes espérances pour le reflet, ça lui crée un environnement bizarre, hors du temps alors qu’elle est dans un magasin tout ce qu’il y a de plus banal.
Elle n’a pas utilisé les mêmes ciseaux cranteurs……
Ha ha ha ! Heureusement 😉
Jalouse… de voir les autres dehors ?
Mais non, à cause d’un mec sinon y a pas d’histoire, enfin !
Je me demandais ce que tu devenais
Ah bon… (pour le mec !)
Sinon je suis débordée avec les petites, mais dès que les choses rentreront ds l’ordre je reviendrai aux affaires ! D’ici peu.
(rigolote la chanson !)
c’est Anne, la sœur de la dernière femme de Barbe bleue, qui, depuis le donjon aux mâchicoulis regarde l’herbe qui poudroie, mais ne voit rien venir…
Maintenant que tu le dis, en effet. Mais je ne l’imaginais pas avec cette tête-là.
J’aime beaucoup cette photo, les couleurs, l’ambiance. Je n’y vois pas de jalousie mais plutôt de la rêverie.
Chacun la voit comme il veut 🙂
La jalousie bousille la vie… dommage quand on est si jolie. 🙂
C’est vrai, ça bousille la vie de tout le monde, une vraie maladie !