L’inspiration de ce texte m’est venue en regardant ces volets clos. L’auteur du cliché, Gaëtan Calmes était de passage dans notre région au printemps 2016. Mon intrusion dans la chambre a été possible dès qu’il m’a autorisé à publier sa photo en illustration. Texte et image sont intimement liés.
Ce texte est une réédition, encore un sauvetage après avoir intégré ce blog, en mauvais état.
J’étais en train de peindre mes persiennes à lattes comme celles sur la photo, c’est une vraie galère. Celui qui les a inventées a dû être condamné à repeindre tous les volets identiques du purgatoire. Une perpétuité dont il se souviendra, il maudira son invention et ne recommencera plus 😉
Les volets sont fatigués d’avoir battu à tous les vents. Des tonnes d’eau les ont délavés, lessivés puis vieillis. Avec Éole son complice, la pluie a creusé les rides du temps à chaque fil…
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Merci de déposer vos commentaires sur ce texte superbe chez Simonu 🙂
Zut, j’ai mis un commentaire ailleurs… Et je n’avais pas compris que ce texte n’était pas de toi… La chaleur fait que mes neurones sont tous figés !